Patrick Jefferson; Finite [VALIDEE]

Patrick Jefferson

feat ♥Michael Weatherly

14 avril 1897
Richmond, Virginie
Inspecteur
Perspicace, chaleureux, courageux
Impatient, autoritaire, entété
It is a matter of anger { La colère }

Tu as du caractère ou pas ?

Commençons par ce qui est le plus complexe puisque c’est à la fois un trait de caractère positif et négatif, de plus c’est celui qui me caractérise le plus. La plupart des gens qui me connaissent disent que je suis un réel risque-tout, près à tout pour coincer un pourri ou défendre un ami. Carte blanche ou pas, hiérarchie ou pas, je ne peut s'empêcher de me risqué à tout faisant de moi quelqu'un de casse-cou voir fou aux yeux de certain. D’autre me qualifie de courageux prêt à affronter mes peurs ou mes fantômes. Effronté voir provoquant, rien ni personne est un obstacle pour moi et se mettre sur mon chemin c'est ce heurté à réel phénomène. Je suis de ce qui défendent des principes précis et qui n’a pas peur de risquer ma peau dans des affaires. Je ne suis pas fou, je suis buté et compliqué.

C'est l'une de mes qualités en tant qu’inspecteur, même si cela m’a mené dans des ennuis pas possible. Ingénieux, je suis rarement a cours d’idée idée m’en sortir, même face au situation les plus périlleuses, cela dois aussi être dû à ma faculté d’improviser. Lucide et intuitif, je suis plutôt difficile à tromper en particulier lorsqu’on utilise mes faiblesses comme moyen d’approche ou d’attaque. Lors qu’on est en ma compagnie on voit rapidement de quel milieu social je viens et que je suis un homme intéressant, cultivé et subtil dans mes propos. Comme l’es d’ailleurs mon humour qui laisse parfois des sous-entendus cassant et provoquant. Je suis assez réaliste et lorsqu’on cherche un conseil ou de l’aide c’est moi qu’on vient voir et pourtant je ne garantit jamais le résultat voulu.

Mon côté obscur dirait-on malgré mon dit côté chaleureux je montre souvent inflexible envers mes interlocuteurs. Lorsque j’ai une idée en tête je suis déterminé et rien, ni personne ne peut me résoudre à laisser tomber. Je peux, lors de mes mauvais jour devenir rapidement cassant et brutal, ma franchise devenant beaucoup plus blessante que diplomatique. Tout dépendant finalement de la personne en face de moi. Devant un criminel je rapidement rigide et entier, voir même tyrannique. Je suis de toute façon rarement commode avec ces derniers. N'ayant pas peur de me frotter au grand bandit ou à ma hiérarchie qui se heurtent souvent à un mur. Lors de chaque affaire Je assez exigeant envers mon équipe voir catégorique sur mes attentes, leur en demandant trop ? Peut-être... Lorsque vous me croisez pour la première fois, vous risquez de vous heurter à ce côté qui est mon mauvais caractère dont je peux me défaire bien vite une fois la confiance installer... Sur ce coup là il faudra être patient, car je ne suis pas facile. A la fois récalcitrant et rebelle, je suis un vrai acharné du travail et coriace, mais devant la gente féminine je tente une approche beaucoup plus psychologique me prenant parfois un peu trop au jeu.

Je une personne assez nerveuse, devenant rapidement impatient. Je déteste attendre, toujours à l'heure et dans les temps, je ne supporte pas les retardataires. Je suis très souvent pressé et je fais plein de choses en même temps, de plus je les faits bien la plupart du temps, personne n’est à l’abris d’une erreur. Assez speed parfois il est difficile de me suivre parfois, mais ne compter pas sur moi pour ralentir. S'adapter à mon style ce n'est pourtant pas très difficile. La curiosité fait aussi partit de mon côté impatient, plutôt d'attendre que l’on m’avoue quelque chose je part fouiner, vérifier les dires, parfois là où je ne devrait pas. Curieux d'apprendre des choses, mais aussi de connaitre mieux les personnes à qui j’ai affaire. Une fois, un de mes hommes racontait que « mes yeux semblent sans arrêt brûlé d'un feu ardent et pétillant de curiosité » mais aussi et surtout d'impatience.

Cette fameuse flamme qui anime mon regard est aussi dû à mon côté chaleureux que tout le monde me fait part le sourire aux lèvres. Généreux quand je veux et quand je peux. Je suis toujours près à donner de mon temps pour les autres quitte à sacrifier mes activités personnelle Je suis, paraît t-il, toujours là au moment où on a besoin de moi. Je suis quelqu’un d’empresser, certes, mais d'abord et surtout un passionné. Un passionné pour mon travail que j’exerce avec le plus de professionnalisme et mes propres principes au risque de perdre ma place. Mais je suis aussi passionné par les hommes et leur projet un humaniste qui tente d’être compréhensif.

Tu as bien des avis...

Un risque. Ce n’est pas réellement plus compliqué, vivre c’est un risque, qu’on le décide de le vivre ainsi ou non, il est absurde de vouloir sans arrêt vivre dans la sécurité. J’ai tendance à dire que j’exerce pas mon métier pour la sécurité des citoyens, mais la justice ce qui n’est pas la même chose. C’est ce risque de vivre qui fait que la vie vaut la peine d’être vécue, une vie sans risque c’est se dire qu’on a le temps, ce qui n’est pas le cas.

C’est amusant que vous posiez cette question. L’amour, je ne sais pas si j’y crois ou non, je pense tout simplement n’être pas tombé sur celle qui pourrait supporter mon mauvais caractère et moi supporter le sien. L’amour c’est une complicité, une amitié avant tout, mais pas n’importe laquelle et c’est justement pour ça que c’est l’amour et non plus l’amitié. La frontière reste à mes yeux assez fine à ce sujet. Je ne fais pas partir de ceux qui charme les femmes, mais lorsque l’une d’elle me charme, j’ai du mal à refuser, mais ce n’est plus de l’amour, c’est par pure attirance physique.

C’est ce dont je me souci le moins, héritier d’une petite fortune et ayant survécu à la crise de 1929, j’ai un niveau de vie aisé. J’en fais profiter mes amis et proches. Je ne l’utilise vraiment que pour subvenir à mes besoins soit se loger, s’habiller et manger. La plupart a été placé à l’étranger, histoire de confiance je suppose. De toute façon le vieux est encore vivant et mon travaille paye pas trop mal en cette sortie de crise donc finalement, c’est plus de l’argent de poche que j’utilise pour me payer des produits ou sorties culturels.

Compliqué. C’est le premier mot qui me viens à l’esprit, mon père est diplomate, rarement à la maison voyageant entre la vielle Europe, Washington et Richmond je l’ais à peine vue. Ma mère, petite dernière d’une famille de sept a perdu ses deux frères et ne vois plus l’une de ses sœurs et qui passe sont temps hors de la maison et accompagnait papa lors de ses voyages dès que j’ai atteint l’âge de cinq ans. C’est mon oncle du côté de mon père qui m’a élevé. Quand a mon grand-père c'est un homme que j'admirais et j'admire encore, mafieux ou pas, qu'il s'entendent pas avec mon père ou pas. Lui il était là pour aider mon oncle. Je n’en veux à personne pourtant et pour moi la famille reste importante, car c’est tout de même une partie de nous, même si je n’en parle pas beaucoup.

Ton apparence, ton look ?

Décidément, vous demandez des choses qu'habituellement on demande plutôt aux amis et proches de juger. Je suis un trentenaire de taille un peu plus supérieure de la moyenne pour l'époque, c'est-à-dire environ 1m88, pour 79 kilos. Étant un excellent tireur que casse-cou, ma silhouette est à la fois frêle et musclée. Très physique, je prends soin de ma santé physique, je prends assez au sérieux la nécessité d'avoir une bonne hygiène de vie afin de pouvoir tenir physiquement face aux différentes situations. J'ai les des cheveux châtains clair, voir blond, coupés courts, je les coiffes assez rapidement, je passe un coup de main dessus et le tour est joué. Mes yeux, de couleur gris-vert, sont en forme d'amande un peu allongée qui pétillent, comme on a pu le faire remarquer un peu plus haut, la plupart du temps de curiosité et dont le moindre vacillement semble être calculé. Mes yeux sont surplombés par des sourcils un peu épais, de couleur châtains foncé dont les expressions qui exprime la plupart de mes pensées, ce qui n'est pas toujours une bonne chose. J'ai un visage de forme ovale où sont dessinés des traits précis accompagnés d'une bouche aux lèvres fines et d'un nez légèrement rond au bout, évident sur le milieu du visage. Visage que l'on dit assez rayonnant et qui parfois peut laisser se dessiner des marques de fatigue qui trahissent mes nuits passées à l'extérieur chez moi. Il m'arrive de ne pas me raser, ce qui rajoute un côté négliger à ma tenue, me donnant un air baroudeur. Mes oreilles sont de taille normales, mes épaules laisse paraître une apparence légèrement carrée. Pour le reste on peut rapidement en faire le tour, j'ai une pilosité moyenne pour les hommes, des mains qui sont aussi de taille moyenne, avec des doigts long et fins dont les ongles sont rongé au bout sauf le petit doigt de la main gauche (cf histoire).J'ai aussi une cicatrice au poignet et ceux qui sont observateur découvrirons rapidement que je suis ambidextre.

Regardez moi un instant mon vieux, vous avez vraiment besoin qu'en plus de faire une éloge physique, il faut en plus vanter mon style vestimentaire. Bon, alors rapidement, venant d'une famille aisé, j'ai toujours été habillé dans un style assez chic et classique. Style qui finalement je n'ais pas vraiment quitté, je m'habille toujours en costume. Donc, chemise blanche accompagnée d'une veste noir, grise ou autre couleur plutôt sobre, compléter par un pantalon souvent de la même couleur que la veste. Par-dessus, surtout en hiver, je porte une longue veste imperméable pour me tenir chaud, noir ou marron. En dessous de ma veste se trouve un shoulder holster en cuir brun où je range mon arme à feu. Je porte parfois une cravate de couleur afin d'égayer ma tenue, mais sans des couleur trop flash (rouge foncé, bleu). Ma tenue se complète par des chaussures chics de couleur, là aussi marron ou noir. La plupart de mes habits sont des marques et même lors de mes jours de congé je reste dans des tenues classique sans la veste et une ceinture avec un étui remplace mon holster. Sinon lors des grandes occasions, je sors le costume noir et chic avec ou sans le nœud papillon mais avec une fois de plus une arme sur moi. Chic, classique et chère, c'est de la façon la plus rapide pour décrit mon style.

C'est tout une histoire

« Ces veilles demeures où nous avons joué enfants. »

« James, dites à Patrick que nous rentrons jeudi.
- Bien madame.
- Son oncle passera la semaine ici, comme d’habitude. »

« C’est le hasard qui précipite les rencontres. »

« Qu’est-ce que tu veux faire après tout ça ?
- Je l'ignore, retenter l'année prochaine..
- Tu peux aussi nous rejoindre, la mafia c’est de famille, je suis sûr que tu es curieux de savoir pourquoi ton grand-père et ton père se parlent plus.
- Je te demandes pardon ?
[…]
- Et ce qu’il y a de juste dans ce genre d’affaires ?
- Tu en vois une de cause juste ? Sérieusement gamin, il y a que la liberté qui est juste et qui mérite d’être défendu.
- L’argent aussi.
- Décidément tu me plais petit. »

« Quand on a choix. »

« Patrick, comment vous portez aujourd’hui ?
- Bien merci. Je vois que mon père vous a convaincu de revenir.
- Avez-vous pris une décision de ce que vous allez faire ?
[…]
- On va vous prendre pour un fou.
- Un jour un homme m’a dit que si un psychiatre ne souris pas à un fou c’est qu’il a compris que c’était compliqué.
- Où voulez-vous en venir Jefferson ?
- Je ne suis pas fou. Je suis compliqué. »

Derrière un écran !

(sans les espaces bien sûr)

(c'est mon côté maniaque)