Oh Happy day ! {Kate} • Finish

Il parait que le bonheur, est un état durable de plénitude et de satisfaction, état agréable et équilibré de l'esprit et du corps, d'où la souffrance, l'inquiétude et le trouble sont absents. J'étais heureuse peut être pas pleinement mais une part de moi l'étais pleinement quand il était là. Ce type était incroyable, il arrivait par le biais d'un sourire à me donner envie de devenir quelqu'un et de vivre une vie de rêver a la new yorkaise. Cette journée avait était tout simplement parfaite, je n'y voyais aucun défaut, rien qu'a partir du moment où je l'avais croisée sur le ferry, mon cœur c'était éclairée. Je commençais un peu trop à douté des mes sentiments envers lui et l'idée d'en tomber amoureuse me faisait peur, c'est vrai qu'il était tout ce que j'aimais mais c'était aussi mon meilleur ami, la personne la plus important en quelques sortes, alors gâchée tout sa par amour ? Et s'il ne ressentait pas la même chose ? Je me contentais de ne plus y pensais et de rester au maximum moi même. Un peu folle, et douce; tendre et gentille avec un grain de piment. Je n'avais pas réussi autant d'attention d'un homme hormis mon père, j'avais l'impression qu'il veillait sur moi comme s'il gardait une petite chose fragile à ne pas briser, et cette sensation était de plus agréables. J'étais protégée et à l'aise dans ces bras comme si ils m'étaient déstinés. Cette journée fut la meilleure de toute, commençant par un petit dejeuner dans le café en bas du ferry, il avait d'ailleurs manger tout mon assiette puisque je n'était pas habituée à manger le matin, ensuite un tour à la bibliothéque, un endroit charmant que j'aimais beaucoup, pouvoir decouvrir des choses, des textes à travers des lignes ou des images. Une histoire, l'histoire de new york par exemple était fascinante. En ce qui me concerne j'adorais lire, dés que j'avais cinq minutes c'était un passe temps agréable, se cultiver et mais surtout découvrir le monde. Aprés la pause culture, il me fit traversé la motié de la ville pour aller manger, il ne s'arrêter jamais et je prennais un malin plaisir à me pleindre, le léche vitrine, j'adorais sa comme toutes les filles. Une traversée de central park et nous allions rejoindre mon endroit, ma deuxième famille et maison; l'endroit le plus chèr à mes yeux dans cette ville, le cabaret des soeurs sanford. Ou je me produisais chaque soir hormis celui là. L'ambiance était toujours chaleureuse et parfaite. En entrant je saluais mes collégues et Missy que je croisais, me jettant un drôle de regard quand elle entre aperçu mon partenaires. Nous nous installiâmes à l'étage, l'endroit VIP si l'on puis dire à notre époque. Missy et Cassidy mangeaient tout le temps là haut, c'était silencieux calme et reposant. Je jetais un coup d'oeil au menu, si vaste que je ne savais pas trop quoi prendre, mais finalement je décidais de ne pas changer mes bonnes habitudes. Jules un serveur passa alors devant nous, le connaissant je l'interpeller.

- Bonjour Jules, tu peux prendre notre commande s'il te plait ? il accepta allant chercher de quoi ecrire, en revenant je lui affichais un sourire. Sa sera comme d'habitude pour moi, s'adressant à patrick d'un signe du visage ... Et vous monsieurs ?

Pendant quelques secondes je scrutais la beauté de l'endroit que je connaissais comme ma poche. Jules parti, j'adressais un sourire à Patrick

- C'est étrange, je n'avais jamais vu que cet endroit était si beau et pourtant j'y chante tout les soirs. C'est l'endroit le plus beau au monde enfin à mes yeux.

Aussi loin que je me souvienne je ne m'étais jamais senti aussi bien en compagnie de quelqu'un sans doute parce qu'il était mon meilleur ami et que c'était une grande valeur à mes yeux, depuis petite on m'avait appris que peut importe les durs moments de la vie vos amis et famille seraient toujours là et ce quoi qu'il arrive. Et cette chose c'était avérais vrai avec lui, les mauvais moments étaient rare ici mais il m'était pourtant arrivé de me sentir, seule et triste. Ayant peur de ce que pouvait m'offrir New York mais surtout peur de ce que je deviendrais quand les filles, Cassidy ou Missy ou encore le public ce lasserait de ma voix. Je savais pourtant que sa n'arriverais pas maintenant mais un jour surement et cette perceptive me faisait vraiment peur, rien que l'idée de repartir au Texas, parmi les animaux, les fermes, le soleil permanant et les praires me rendait malheureuse, j'avais gouté à la vie new yorkaise et en changeait serais sans aucun doute très difficile. J'étais satisfaite, accompli et heureuse ici.
Cette endroit ou je chantais chaque soir, était la perfection incarnée, beau de l’extérieur comme de l’intérieur et parfait sans aucun défaut, il était mon paradis, ma deuxième maison. Le quitter pour rien au monde, j’aurais aimé que ma famille soit là, qu’elle me voie simplement heureuse ayant la réussite. Hormis la différence de ville, mes valeurs et habitude n’avait pas changé, je restais toujours la petite Kate rêveuse et douce, à la fois fragile et forte. Au village on disait de moi que j’étais sans doute trop généreuse et gentille mais j’étais faite ainsi, j’aurais pu être prête, j’aider dans la détresse, accorder une seconde chance à tout le monde, pouvait défendre la cause la plus petite du monde, mais surtout n’abonnerais jamais mes amis, Patrick en faisait parti, il pourrait faire la pire bêtise du monde, comme recommencer dans la mafia que mon attitude envers lui ne changerais guerre. Bien sur je le préviendrais et lui dirais que c’est la pire erreur de sa vie mais je ne changerais pas mon soutien envers lui, car la vrai amitié ce n’est pas un petit mot de temps à autre, ce sont des gestes quotidien, des paroles douces et des promesses respectées. Et je savais pertinemment qu’il serait pareil avec moi, me protégeant comme une poupée de porcelaine qu’il ne faut absolument pas faire tomber. Et je l’avais compris une nouvelle fois avec lui, pendant cette journée, ce moment simplement lui et moi. Je m’étais vraiment amusée, même si le fait d’avoir parcouru new York m’avait épuisé mais je n’en regrettais pas chaque seconde. En arrivant au cabaret, il me conduit à notre table faisant preuve de classe envers moi, un vrai gentleman. Cette vue sur la scène, c’était donc sa que l’on ressentait quand on entendait ou voyait quelqu’un faire son « show », c’était splendide. Sa petite réflexion sur le fait que l’on soit ensemble ce soir, était totalement vrai, il ajouté sa touche personnel dans cette endroit, et sans lui tout serait différent.

« Mais tu as tout à fait raison. », je marquais quelques instant de pause avant de reprendre « tu es très beau et élégant ce soir, enfin comme tout les soirs d’ailleurs »

Un compliment, sans arrière pensée, je pensais chaque mot. Patrick était un bel homme, classe, un peu parfait à sa manière. J’eu chaud au cœur quand il complimenta notre journée qui à mes yeux ne pouvait être plus parfaite, De tout les manières possible même une journée assise sur un banc en sa compagnie le serait. Il faut avouer que rien que le fait de discuter avec lui était un grand plaisir.

« Merci, mais merci à toi pour cette journée, je me suis beaucoup amusé et tu m’avais manqué … ne t’en fais pas pour mes pieds, ils vont très bien. »

Je mentais légèrement sur mes dernières paroles, mais sa main sur la mienne me fit oublier toute douleur quelqu’onque. Décidément rien ne pouvait perturbée cette soirée, ma pauvre Kate tu parle encore trop vite, je n’eu pas le temps de sourire ou de reprendre, qu’un homme bien trop alcoolisé, le visage fatigué ce jeta littéralement sur Patrick, tout d’abord par les paroles l’insultant, sur sa relation sexuelle avec cassidy et ensuite en m’insultant de « pouffiasse », ce fut extrêmes blesser et cela se lisait sur mon visage, je n’était pas une « grande Guelle », comme on dit mais cependant je restais calme mais énervé intérieurement. Mais il allait le frappé et cela me mit étrangement en colère même si cela ne m’arriver jamais

« Patrick attention. »

Je n’eu le temps de finir que ce type était à terre. Je me levais regardant Patrick dans les yeux, attendant une explication de sa part.

Je connaissais chaque des clients de ce cabaret, bien sur pas tous au même stade, mais j'essaye de rester présente auprès d'eux, afin de leur montrer qu'ils ne sont pas là seulement pour faire rentrer de l'argent. Je vous juste qu'ils se sentent à leur aise. Et bien sur simplement les remercier pour tout le bonheur qu'ils m'apportaient chaque soir, bien sur je devais beaucoup à Cassidy et Missy mais au public aussi sans lequel je ne serais rien. Marcus était en quelques sortes un habitué, souvent présent et souvent ivre. Mais au fond c'était une personne adorable et détestable à la fois. C'était un peu comme tout le monde, au fond c'était un très gentil garçon mais comme tout le monde il faisait des erreurs. Personnellement je ne touchais jamais à l'alcool, je détestais son gout et les effets qu'il procurait. Le vin était encore plus étrangement dans ma bouche, j'avais l'impression 'étouffer. Je préférais de loin un bon jus de fruit ou encore un verre d'eau glacer. La seule fois ou Kate avait touché a un verre d'alcool c'était lors de ces dix huit ans. Au Texas. Sa famille était réunie pour une petite soirée et avait en quelques sortes forcée la jeune femme à gouter au vin. Je me rappeler la phrase de ma mère sur le fait de boire ce verre

miss matthews ■■ kate tu pourrais faire un effort, tu a dix huit ans aujourd'hui.
kate matthews ■■ maman, je deteste sa.

J'avais eu beau la suplier j'avais fini avec ce verre dans la bouche, je n'avais pas mit longtemps à tout rendre totalement malade. plus jamais je n'y toucherais. Bref voir marcus dans cet etat était tellement habituel mais étrangement ce fut le fait qu'il m'insulte qui me fit le plus de mal; jamais celà n'était arriver. mais au fond je ne lui en voulais pas une seconde. Je lançais un étrange regard à Patrick quand celui -ci tomba. J'allais l'aider mais en voyant patrick se penché je crus qu'il le ferait. Il commença a lui parler, un pied sur la pointrine

Kate ■■ Patrick laisse le ce n'est rien. Marcus à bu, il ne se rend pas compte de ce qu'il dit.

Je laissais quelques secondes s'écouler mais il ne bougea pas ce contentant de me regarder sans un mot

Kate ■■ S'il te plait, laisse le ... fait le pour moi.

Ma tante Juliette me repetait sans cesse à moi et mes cousines. Faîtes un voeu et placez-le dans votre coeur. Tout ce dont vous avez envie, tout ce que vous voulez. C'est bon ? Bien. Maintenant croyez que ça peut se réaliser. On ne sait jamais quand un miracle peut arriver un sourire ou un souhait se réaliser. Mais si vous croyez que ça peut arriver au détour d'une rue et que vous ouvrez votre cœur et votre esprit à cette possibilité, à cette certitude, il se pourrait que vos souhaits se réalisent. Le monde est plein de magie. Il suffit d'y croire. Alors faîtes un voeu. C'est bon ? Bien. Maintenant croyez-y de tout votre coeur. Je vivais ainsi croyant en mes rêves et en mes envies. Elle avait raison, la vie mérité ces croyances et esperances et moi je vivais pour sa désormais, croire que tout pouvait changer, que un petit détail de la vie faisait que en un fragement de seconde, tout changé et notre étoile brillait. Mon étoile brillait, elle était là enface de moi, je savais que Patrick veillé sur moi tel un ange gardien ; mais au délà de cela il avait ce coté colérique, et sans peur du à son passé, il s'en prit à Marcus juste aprés qu'il m'est insulté et pourtant cet homme je ne lui en voulait pas. J'étais d'une génerosité incroyable, je pouvais pardonner n'importe quoi, et je savais que Marcus n'y était pour rien.

Patrick se stopa, l'aidant même a se redressais aprés que je lui ai demandé. Je savais qu'il était merveilleux mais son regard me troubla totalement, mais celà s'emplifia suite à ses paroles. Je tiens à toi tu sais. Je le savais mais mon coeur ne fit qu'un bon quand il me l'avoua. je lui rendis un tendre sourire.

William Shakespeare à écrit : « L’amour n’est pas l’amour s’il fane lorsqu’il se trouve que son objet s’éloigne. Quand la vie devient dure, quand les choses changent, seul le vrai amour reste inchangé. » Au fond, l’amour qu’est-ce que cela signifie-t-il vraiment ?! .. Voir deux personnes ensemble qui ce sourit et s’embrasser à longueur de temps ?! .. Pas vraiment non, cette amour là il n’est que à durée déterminé, il ce terminera forcement un jour, et ce jour là les deux n’en souffriront pas ils ne s’aimaient pas comme l’amour le veut et c’est cela qui fait qu’on peut remarquer qu’ils ne s’aimaient pas comme le veut le mot « amour » ! L’amour est un sentiment envers un être ou une chose qui pousse les personnes qui le ressentent à adopter un comportement, plus ou moins rationnel, les entraînant principalement à rechercher une proximité pouvant être tendre, physique, passionnée, intellectuelle, spirituelle, voire imaginaire, vis-à-vis de l'objet de cet amour. C’est tellement simple, l’amour, tellement possible, l’amour, a qui l’entend regarde autour a qui le veut vraiment. Cette chanson le bouleversée, l’amour qui vaut la peine, d’être vécu, chercher, sera nous le chemin. L’envie d’aimer, l’envie d’être prés de celui qui faisait battre votre cœur. Celui qui vous donne l’envie d’aimer, d’être heureux, de vivre, de redevenir ou de devenir un rayon de soleil. Tellement possible l’amour, tellement fragile, oui notre histoire, avec lui ou elle. C’était de la magie et du l’amour mais l’exprimer en public semblait si impossible. Mais au fond cette chanson disait vrai, l’amour je ne parle pas du sentiment futile qui existe au cinéma mais du vrai amour ; celui qui donne un sens à votre vie et une raison d’exister. Celui qui vous donne l’envie d’aimer, elle était là celui qui était tellement fort, tellement tout, mon tout. Il l’avait attendu et l’avait enfin trouvé. Il voulait que se soit nous pas lui et elle mais nous. Un couple qui puisse vivre son amour au grand jour, au fond que peut importe l’opinion des autres, peut importe qu’il trouve sa nul de voir une jeune femme de 24 ans avec un homme de 33 mais désormais je m'en fichais, pendant une seconde j'avais trouvé ce que je cherchais depuis toujours. Sa ne veux pas dire que tout sera simple mais que si l'amour était présent les armes seraient sauvées. J'ignorais encore le déroulement de ce baiser ou de cette histoire mais une chose était sur je voulais y croire. Je prolongeais chaque seconde de ce baiser, jusqu'a en avoir le souffle couper mais être séparer de lui me semblait impossible. Lui mon meilleur ami depuis mon arrivé au new York, j’avais compris depuis quelques temps que j’en étais totalement amoureuse mais je fermais mon regard face à ces sentiments, par pur lâcheté et peur de déception. Mais il me le rendit, il prolongea ce baiser posant ses mains pour moi et il ajouta deux mots, huit lettres, mon cœur ne fit qu’un bon, je fus au paradis, comme si je plongeais dans un océan de douceur, mon visage s’illuminer, mes yeux brillait et mon sourire respirait la joie … « je t’aime », c’était pourtant simple mais je l’attendais depuis si longtemps, il était là, dans mes bras. Sans lâcher son regard je pris ma force et tentais de rester concentré quelques secondes.

- Je t’aime Patrick Jefferson.

Ce fut dans un élan de sincérité que je prononçais ses mots. Il sourit et ensuite combla de nouveau l’écart de notre cœur et nos corps. C’était donc sa le paradis ? Je comprenais le sens de l’amour désormais, mon cœur qui vibrait, mes lèvres qui le désirais, mes pensées qui lui étaient exclusivement réservée et surtout cette sensation de sécurité dans ces bras. Je ne savais pas, je ne savais pas ce qu’aimer voler dire, jusqu'à ce que toi Patrick Jefferson tu pose ton regard sur moi. C’était magique, j’étais sans aucun doute la femme la plus chanceuse du monde, parce qu’aujourd’hui, j’étais en face d’un miracle, moi petite Kate fragile et douce, qui croyait au coup de foudre, en la magie et au conte de fée, mais qui c’est dernier temps avait eu beaucoup de doute sur l’espèce humaine, j’étais témoin d’un miracle, de mon miracle, aujourd’hui il arrivait une chose merveilleuse, la plus belle du monde, la personne que vous aimez vous aime en retour.

Je voyais l’amour comme la plus belle chose du monde, c’était un mélange de tendresse, de passion et de désir tout sa en beaucoup plus fort. Je ne connaissais pas cette sensation d’amour, l’amour ne c’était jamais posé sur moi, je veux dire je vrai sentiment amoureux, il y avait ce type au lycée, c’était Andréa, un jeune homme assez bien vu des autres filles, nous sortions ensemble, j’en étais amoureuse du moins je le croyais, il était beau, athlétique, assez attentionné et représentait de manière général ce que je cherchais, je n’étais qu’une jeune femme insouciante et c’est vrai je croyais en être amoureuse, mais il était un gouachât me voulant juste dans son lit, je ne l’avais compris que plus tard, quand je l’avais vu dans les bras d’une femme plus jolie. Le cœur brisé littéralement par ce type, je m’étais senti trahie, il parait que La trahison désigne le fait d'abandonner, de livrer à ses ennemis ou de tromper la confiance d'un groupe (politique ou religieux), d'une personne (ami, amant, famille) ou de principes. Il m’avait déçu, trahi et depuis ce jour je voyais l’amour comme un sentiment fataliste, totalement stupide et sans intérêt. Mais je savais pertinemment une chose je ne savais rien de l’amour, je n’étais qu’une adolescente, mais malgré tout sa j’avais été heureuse pendant quelques instant. Certains diront que Le bonheur (étymologiquement la bonne fortune - entendre dans "fortune" : ce qui arrive de bien ou de mal -) est un état durable de plénitude et de satisfaction, état agréable et équilibré de l'esprit et du corps, d'où la souffrance, l'inquiétude et le trouble sont absents.
Cependant rien ne ressemblait à la joie que je pouvais ressentir en ce moment, j’avais l’impression que ces bras étaient fait pour moi, que rien au monde ne pouvait venir me séparer de lui, j’étais heureuse, sincèrement heureuse et cela se lisait sur mon visage. J’eu une étrange minutes de nostalgie en repensant à notre rencontre dans ce même endroit ; cela devait faire quelques soirs que je chantais ici, j’étais déjà très à mon aise, et une parfaite entente c’était nouée avec mes deux patronnes. C’était une soirée, il était déjà tard, et j’allais rentrer, vêtu d’une robe rouge, Cassidy elle me demandait d’approcher, voulant me présenter un client et ami. Il était magnifique dans son costume noir, un regard attendrissant, j’en fus bluffée et totalement émerveillée. Il s’appelait Patrick Jefferson. Il semblait m’avoir apprécié et j’en rougis, ce fut sans doute ma plus belle rencontre. Je ne savais rien et pourtant je n’avais jamais était si confiante qu’a ce moment là. Aujourd’hui j’en étais sur j’étais tombé amoureuse de lui, dés que sa main eu touché la mienne. Je regrettais de ne pas lui avoir dit plutôt mais j’avais juste peur du regret, je le savais aujourd’hui mes sentiments pour Andréa n’était pas comparable avec ceux de Patrick. Je l’aimais d’un amour sincère, avec tous ces défauts, ne voulant pas qu’il change ne serait ce qu’un cheveu. Bien sur je savais que ce ne serait pas simple, qu’il y aurait des moments durs, de peur ou de larmes mais j’étais prête à courir le risque, à l’aimer juste lui comme il était. Je plongeais mon regard dans le sien, intensément, enlaçant mes mains dans les siennes.

« Je pourrais te retourner la question … mais laissons le passé derrière s’il te plait. »

Je laissais quelques secondes s’échapper, ses mains autour de moi, mon évidence, une évidence.

« Je veux me concentrer sur toi et sur rien d’autre. » murmurais-je prés de ses lévres.

Je veux croire au conte de fée car au moin tout fini bien dans ces histoires la. Je voulais croire en la magie du monde, croire qu'une personne si c'est la bonne personne peut tout changer. Qui avait t'il de mal à espere un monde meilleur, à imposer sa voix dans la foule et simplement à vivre sa vie, je ne cherchais pas autre chose que le bonheur, j'étais au fond comme tout le monde mais différente. Je fesais juste preuve d'optimisme, certains diront que L’optimisme désigne chez l’être humain un état d’esprit qui perçoit le monde de manière positive. Une personne optimiste a tendance à voir « le bon côté des choses », à penser du bien des gens, et considère que des évènements, même fâcheux, prendront quoi qu’il arrive une tournure positive en fin de compte. Que L’optimisme est le contraire du pessimisme. Cette opposition est métaphoriquement illustrée par la question de savoir si un verre donné doit être considéré à moitié plein (vision optimiste) ou à moitié vide (vision pessimiste).L'optimisme est un sentiment positif en tant que moteur de l'initiative. Et enfin que le suroptimisme (ou surconfiance) est un biais cognitif (et émotionnel) pouvant conduire à des prévisions hasardeuses, un excès de confiance et des comportements dangereux. J'étais peut être destinée à mourir de bonheur. C'était sans doute un bon moyen de mourir, le bonheur. A ce moment précis le mien était comblé, lui avouer mes sentiments étaient sans aucun doute la chose la plus bonne à faire même si la peur de me faire briser le coeur avait été presente mais je me sentais un peu en sécurité depuis que ces bras c'était posé sur moi, comme si toute ma peur c'était évanouie.

Pendant plusieurs secondes, je fus dans un etat second, comme si le monde avait cessé d'exister, comme si personne ne nous regarder ce qui était d'ailleurs faux. Je sentais tout les regards posé sur moi et celà n'avait rien de bien agréable. Mais il n'avait aucune importance, il était la et seul sa compter.Je me doutais que les gens parleraient, que des rumeurs et on dit se ferait sur notre histoire et sur ses sentiments envers moi, j’avais dejà vu sa dans le journal, moi trop naive peut être mais je ne doutais pas une seconde de son amour ; rien ne changerait, il restait celui avec qui j’aimer passer du temps, celui avec qui je riée, celui à qui j’offrait toute ma confiance avec en plus, une touche d’amour sincére.

■■ rien ne t’en fais pas juste une envie de ne plus bouger là.

J’apprecier chacun de ces passages sur mes levres comme si rien ne pouvait être plus beau. Tournant la tête je regardais le serveur attendre, seul n’osant pas nous deranger. Je suivit patrick guidant mes gestes, jusqu'à ce que délicatement il ce comporta en parfait gentleman

■■ rien ne pourrais être plus parfait ne t'en fais pas apart que tout le monde nous regarde.

je passais ma main dans la sienne, lui souriant. Je levais mon verre de vin, en buvant une gorgée, decidement je n'aimais pas ça, mais je n'en montrais rien, tentant de faire semblant d'adorer cette boisson.

Je n'avais jamais été aussi sur de moi, pour la premiere fois depuis longtemps j'étais sur de mon choix, sur qu'il soit le bon mais surtout sur de ne pas me tromper. Je ne cherchais pas à me compliquer la vie mais à simplement être heureuse, avec lui. Les gens me fixait étrangement, je sentais leur regard et ma timidité remonté, je sentais le rouge me montait aux joues, et bien sur leur avis sur ma relation avec Patrick je m'en fichais un peu, ils ne l'aimaient pas ? c'était bien dommage parce que moi j'en étais amoureuse, il est vrai que comme chaque fille, ma vision de l'amour était quelques peut embellie, bien sur tout ça n'avait rien avoir avec ces bétises sur le prince charmand qui arrive sur un cheval blanc pour prendre votre coeur, ou encore au fait que tout fini bien et à cette stupide phrase « ils vecurent heureux et eurent beaucoup d’enfant », comme si la vie était comme ça, un conte de fée , bien sur les moments bons existaient mais je savais très bien que rien n’était beau, magique et parfait. Je savais que sortir avec lui, ne serait pas simple et que beaucoup parleraient sur nous, sur ma naiveté et sur son passé ou encore sur le fait que je souhaite lui prendre son argent, mais cependant mais aucun ne serait que je l’aimais plus que n’importe qui sur cette planete, mon cœur battait pour lui et sa personne ne pourrait le changer.
Je m’installais à ses cotés, juste plongeant mes yeux dans les siens comme si plus rien en comptait apart lui, ce qui était totalement le cas. Me priver de lui, je preferais ne même pas y penser, de toute façon j'étais prête a decrocher les étoiles pour lui, c'était peut etre trop bête, débile de ma part ou totalement naive mais je savais qu'il ferait la même chose pour moi. J'avais moi aussi entendu parler de ce bal et j'avais espèrer entre sa bien avant ce baiser.

« Sa serait avec grand plaisir. je laissais passer quelques instants, sentant sa main sur la mienne, c'était parfait. Si tu ne m'aurait pas inviter je l'aurais fait. »

Joe le serveur arriva déposant les dessert, je lachais sa main, mais pas son regard. Une douce musique commença , j'affichais un sourire malicieux à la fois heureuse et tentais.

« tu dancerais avec moi ? ici ? c'était peur être bête mais j'en avais trés envie. Puisque tout le monde nous regarde autant en profiter. »

Je dois dire que je n’aurais quitter ces bras pour rien au monde, enfin je le croyais pour le moment ; Patrick, j’étais tellement heureuse qu’il soit ici dans ce cabaret avec moi. Je dois dire que si il n’était pas avec moi, je l’aurais appeler chaque jour lui racontant mes journées dans les détails, c’est simple un coup de fils avec lui pouvait durer des heures, je n’avais aucune limites, je pouvais lui parler des heures durant, je me rappellais chaque nuit ou j’étais au télephone, deux, trois même douze heures de suite, alors que nous ne vivions pas si loin l’un de l’autre mais j’avais ce besoin de l’avoir à mes cotés, il était un peu une bouffée l’oxygéne, lorsque j’étouffée. Je passais mes deux bras autour de son coup, j’étais à l’aise, avec lui j’étais plus douce qu’avec les autres hommes, et aussi plus fragile, je savais très bien que s’il partait un jour ou que si nous nous disputions et nous nous adressions plus jamais la parole j’en serais plus que malheureuse. C’était mon meilleur ami, la personne la plus chèr à mes yeux, malgré son coté mysterieux que j’aimais enfaite, La musique rythmé nous vie, comme notre amitié, j’avais appris sa aussi avec lui, je me rendais compte que tout ce que je savais et que j’aimais je lui devais, la musique, la conduite, l’art.

C’était étrange de ce dire qu’il aurait pu être mon père en autre, protecteur, apprentissage, et amour avec lui. C’était mon frère, celui que je n’avais pas eu et celui dont j’avais besoin, et désormais j'en etait eperdument amoureuse. Je deposais délicatement mon visage sur son épaule, me serrant un peu plus contre lui comme si rien ne pourrait nous séparer. Etant plus petite je relevais mon visage pour me plonger dans ses yeux.

« je t'ai deja dit a quel point je te trouvais magnifique ? il fit non de la tête et je souriais, j'embrassais doucement ses lévres mais tendrement cependant. Tu es magnifique chéri » je me sentis un peu bête de l'avoir appeller ainsi mais cela me parraisser evident. Je l'aimais et il était mon cheri rien qu'a moi.

La sensation d'être amoureuse était des plus agréables, je ressentais enfin cette joie. La chanson se termina, et je l'embrassais une nouvelle fois, comme si rien ne pouvais nous separer, je me rendais compte que tout ce que j'avais toujours voulu était avec moi, l'amour, l'admiration et la musique. Mais vivre mon histoire avec lui, etait mon plus grand souhait et je savais qu'elle allait durer encore un bon moment. Pendant plusieurs minutes nous restions la à nous regarder sans un mots, au bout d'un moment je repris la parole.

« hum je suis désolée mon pauvre corps commence à être épuisé, tu me raccompagnerais ? » j'esperais une réponse positive, histoire de rester avec lui un peu plus longtemps.

Je ne savais pas vraiment m’y prendre avec les hommes, j’avais appris à ne plus être timide et renfermer et en m’exprimant à travers la musique j’avais pris sur moi et appris simplement à passer au dessus de mes peurs, et à simplement être plus forte, doucement mais surement. Ce n’était pas simple mais le cabaret m’avait appris beaucoup de chose ; à être plus forte, à comprendre et à rêver. J’étais Kate, une petite fille débarquant d’un petit coin perdu du Texas dans l’espoir de vivre un rêve, un rêve Américain en quelques sortes, me faire briser le cœur me faisait peur, mais pourtant j’avais toujours eu qu’un model parfait de l’amour comme celui de mes parents, qui c’était aimer depuis toujours et pour toujours comme ils se l’étaient promis en s’unissant par les liens du mariage, cependant je ne voulais pas avoir le cœur brisé, comme toutes ses filles qui aiment plus que tout une personne, un homme et que quelques jours après l’homme en question parte avec une autre, mais Patrick était différent de tout ces hommes, je voyais en lui quelqu’un d’incroyablement formidable, il était celui que j’aimer pour des millions de raison et les citer auraient été beaucoup trop longue, cependant je savais que je le voulais lui et personne d’autre. Je me senti totalement gênée après l’avoir appelé chéri, ce n’était pas dans mes habitudes, mais c’était sorti dans le naturel, comme si il m’était destiné. Il y eu un long moment de silence juste après mon compliment, je restais plusieurs secondes dans ses bras, je ne bougeais pas, j’étais au paradis, dans mon petit cocon ; mon grand frère, mon amoureux, mon meilleur ami, mon soutien que je ne voulais absolument pas perdre. Il était déjà tard et l’épuisement ce lisait sur mon visage, malgré le fait que cette journée fut sans aucun doute la plus belle de ma vie, je devais dormir, je souhaitais bien sur qu’il soit la pour m’endormir contre lui et rien de plus, car la petite Kate n’était pas prête à sa, j’avais peur aussi et je savais que cela arriverais quand je serais prête à franchir le pas avec lui, en lui demandant de me raccompagner je voulais voir s’il resterais avec moi ou s’il préférais rentrer dormir lui aussi. Je ne voulais pas le laisser, je voulais encore sentir son parfum enivrant prés de moi, son amour, son regard et ses lèvres mais toutes les musiques ont une fin, est ce une raison pour ne pas en apprécier la musique. Je fus intriguée par le fait qu’il est quelques choses à faire à cette heure là mais cependant je lui faisais une confiance totale, je ne doutais pas de lui et je savais qu’il ne me mentirait pas, il était bien trop franc pour sa.

« Ne t’en fais pas, sa ira. Je secouais le visage négativement, lui en vouloir me sembler impossible. Je vais appeler un taxi. »

Quelques secondes plus tard, j’enfilais mon manteau et avec toute sa galanterie il m’accompagna dehors dans la nuit sombre. Un taxi passa et d’un signe de la main, il l’appela. Il faisait assez froid et sombre mais il était minuit passé. J’ouvris la porte, lui affichant un sourire, j’allais sans doute penser à lui toute la nuit et cette idée me ravis totalement. Il approcha ses mains de moi avant de m’embrasser une dernière fois, je prolongeais bien sur avant de lui sourire, sa main dans la mienne, je devais le laisser

« Fait attention à toi. Bonne nuit. Merci pour cette journée et cette soirée. Je t’aime »

Un dernier baiser et je grimpais dans le taxi jaune, en direction de mon appartement. En une petite demi-heure je fus chez moi, me plongeant sous une petite douche, je ne pensais qu’à lui, il obséder mes pensées. J’allais me coucher, m’endormant doucement son visage dans mon crâne, ses mots dans mes pensées, ce soir deux âmes étaient en paix, deux âmes étaient amoureuse, d’autres allaient périr, d’autre aller naitre, et dans tout ça le monde continuer, il est tant, tout n’est pas écrit, tout peut changer, personne ne connait l’avenir, je ne savais pas quoi demain serait fait mais je savais qu’il serait la, juste lui. N’oublie jamais Kate, rien n’est définitif …

2 jours. C'est le nombre de jour ou je travaille pour la mafia est ceux officiellement et vous savez quoi ?! 6 meurtres en tout. Et le plus magnifique dans tout ça c'est que ce sont des crimes qui ne passeront même pas aperçu aux yeux de la police, je suis pro c'est comme ça et je compte pas m'arrêtait là car le bosse il me le faut dans la poche, un faux pas et c'est moi qui fini dans la tombe. En deux jours j'ai tué deux anciens de la mafia qui ont retourné leurs vestes, 1 femme d'un qui a essayait alors c'était juste un avertissement et les 3 autres ? Des passants qui croyaient pouvoir faire le malin avec moi, ils ne savent pas qui je suis puis ils ne le seront pas je crois que c'est trop tard ils sont au fond d'une rivière bien au calme. Encore une petite mission pour moi en cette belle soirée décidément je deviens le chouchou du bosse, et pourtant je ne l'ai jamais rencontré de mes propres yeux mais c'est comme ça dans la mafia il ne suffit pas d'être là 2 jours être bon et c'est joué, il faut faire ses preuves. Ce soir ma mission tabassait Patrick Jefferson, je suis déçu je n'ai même pas le droit de le tuer, je déteste qu'on me donne des ordres quand je ne peux allais au bout des faits, mais bon c'est comme ça je fais me musclé les points. une de mes sources me dis qu'il est au cabaret, je m'y dirige mais il est avec une femme depuis l'extérieur je surveille d'ailleurs je m'aperçois qu'un homme vint à lui et lève le point sur celui ci je n'aurais peut-être rien à faire quoi que il tombe au sol, pathétique je vais devoir abimé ma belle main toute de même. Enchainant clope sur clope dans le froid je m'impatiente pour qu'il sorte quand le moment arriva enfin, j'avais failli perdre patience, la fille partit idéal pour moi, cela m'aurait embêter de devoir la frapper aussi mais si il le fallait je l'aurais fait. Je le suis discrètement quand je le vois prendre les ruelles décidément Patrick tu me facilite grandement la tâche. Je le suis d'une discrétion total pour moi c'est simple c'est mon métier la discrétion et les coups bas. Alors qu'il arriva à une intersection je me dis que c'était le moment au jamais je n'allais pas attendre non plus des heures j'avais déjà perdu patience alors je me mis à courir puis par derrière je lui donna un gros coup à la tête pour le faire tomber au sol et c'est ce qu'il fit en beauté il n'avait même pas eu le temps de me voir venir, il tomba au sol et à l'aide de gros coups de pieds je me mit à la défoncer touchant le ventre la tête alors que je voyais déjà le sang coulé au sol, il ne pouvait même plus bougé il faut dire que mon premier coup avait été fatal. Je me mit à le battre puis me baissa pour enchainer de mes points bien évidement j'avais mit ma cagoule pour ne pas qu'il me reconnaisse ou qu'il voit mon visage. Je vis qu'il était déjà bien amoché et que si je continuais cela pouvait lui être fatal alors j'arrêta et lui dit :

Ceci n'est qu'un avertissement ...

Bien sur j'avais modifié ma voix, puis je me mis à courir et je le laisse là en plan ...